mercredi 28 novembre 2007

janfi67 pas si blanc que ça...

Je demande à l'auteur de ce blog de publier mon témoignage, mais de conserver mon anonymat. On ne sait jamais, des fois que je me trouve aussi cloué au pilori par janfi67 le chevalier blanc.. car je suis black et je m'appelle Adam (ça peut pas s'inventer)!
Voici l'info que j'aimerais apporter à l'auteur de ce blog en contradiction à celui de janfi67. Lorsque je vais sur d'autres forums, je lis ce que janfi67 écrit:
"Je fais du reverse engineering sur les structures du CD Navteq. Mais en aucun cas je ne modifie le contenu.. c'est l'utilisateur qui le fait! Et un bon avocat pourrait plaider l'interopérabilité, qui est une des exceptions prévues pas la loi."
janfi67 déclare donc clairement que RT3MapEditor ne modifie pas le contenu des la Base Navteq. Et que c'est l'itilisateur final qui le fait. Alors de quoi il se mêle? L'utilisateur d'un CD original avec licence Navteq est parfaitement libre de faire ce qu'il veut s'il respecte l'article l'Art. L. 122-6-1.II.
janfi67 dit qu'un bon avocat pourrait plaider l'interopérabilité. Tiens, pourquoi pense-t-il avoir besoin d'un bon avocat? Je suis allé voir ce que c'est que l'interopérabilité en informatique. Définition Wikipédia:
"On entend par compatibilité la capacité de deux systèmes à communiquer sans ambiguïté."
Puis il y a la mention suivante:
"L'amendement 341 à la Loi DADVSI (Droits d'Auteurs et Droits Voisins dans la Société de l'Information) qui n'a pas été retenu par l'Assemblée proposait les définitions suivantes : On entend par compatibilité la capacité de deux systèmes à communiquer sans ambiguïté. On entend par interopérabilité la capacité à rendre compatibles deux systèmes quelconques. L'interopérabilité nécessite que les informations nécessaires à sa mise en œuvre soient disponibles sous la forme de standards ouverts."
On dirait que ce fameux amendement que plaide janfi67 n'est pas passé. Personnellement, je lui conseillerais de mettre la pédale douce sur ce sujet car comme on dit chez moi en Centre-Afrique:
"N'insulte jamais un crocodile avant d'avoir traversé la rivière". Adam S.

Michel C., ayez un peu pitié de vos lecteurs. Pour une fois, essayez, si ce n’est pas au dessus de vos faibles moyens intellectuels de vous renouveler. Vous nous avez déjà fait le coup d’Emilie, voila maintenant que vous vous prenez pour Adam. Ce n'est plus un dédoublement de la personnalité, mais un triplement. Votre cas mériterait peut-être de figurer aux anales de la psychiatrie?

Mais ce subterfuge éculé n’est rien comparé au contenu de votre message qui n’est du début à la fin qu’une accumulation de mensonges :

Vous me citez en disant : « RT3MapEditor ne modifie pas le contenu des la Base Navteq. Et que c'est l'itilisateur final qui le fait » puis vous demandez . « Alors de quoi il se mêle? ».

Je me mêle de ce qui me regarde, monsieur le pirate, de la défense de mes droits ! Pour modifier une carte avec RT3MapEditor, l’utilisateur final, vous en l’occurrence, doit approuver le contrat de licence utilisateur, et le respecter. Quand vous revendez des cartes modifiées par RT3MapEditor, vous ne respectez pas le contrat que vous avez passé avec moi et vous violez mes droits, droits que j’entends faire respecter.

Et pourquoi Michel C., nous parler d'un amendement non retenu de la DADVSI, plutôt que de parler du code de la propriété intellectuelle qui s'applique aujourd'hui en France, celui-la même auquel vous faites référence quand ça vous arrange mais que vous violez allègrement ?

Pourquoi nous nous citez-vous l’article L.122-6-1.II de ce code, mais pas le suivant qui se trouvent juste en dessous et qui prouve que je ne viole aucune loi en faisant du reverse engineering :

III. La personne ayant le droit d'utiliser le logiciel peut sans l'autorisation de l'auteur observer, étudier ou tester le fonctionnement de ce logiciel afin de déterminer les idées et principes qui sont à la base de n'importe quel élément du logiciel lorsqu'elle effectue toute opération de chargement, d'affichage, d'exécution, de transmission ou de stockage du logiciel qu'elle est en droit d'effectuer.


Nous prendriez-vous encore pour des imbéciles ? Etes-vous simple d’esprit ? Où mentiriez-vous uniquement pour tenter de me calomnier ? Car contrairement à ce que vous prétendez, je ne viole aucune loi.

Vous vous prenez enfin pour un crocodile. Puisque vous aimez les métaphores animales, je vous verrai plus comme un charognard, du style hyène ou bien comme une blatte, vivant cachée dans l’ombre, qui se transforme en corbeau des temps modernes, faisant oeuvre de dénonciations calomnieuses et anonymes dès que la lumière le frappe.

A l’évidence, Michel C, c’est vous qui n’êtes pas blanc. Et au vu de vos mensonges, votre âme n’est pas grise, mais bien plus foncée. De la couleur de vos déjections…